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LES PARTIS POLITIQUES DOIVENT ETRE SUPPRIMÉS

La présente crise politique démontre l’échec de cette soi-disant démocratie dont on nous rabâche les oreilles depuis des décennies. Tous les Français s’en rendent compte. Ainsi le Figaro de ce jour publie un sondage dans lequel, à la question « pensez-vous qu’Emmanuel Macron va nommer un nouveau premier ministre en 2025 ? », 86% d’entre eux répondent OUI. Alors que Bayrou vient seulement de prendre son poste !
Dans le même sondage, 62% des Français souhaitent la démission de Macron. C’est dire à quel point tous les partis politiques sont désavoués, puisqu’aucun n’est capable d’atteindre 51% des voix, ce qui est faible puisque cela ne représente que la moitié de la France. C’est toute l’hypocrisie du système : on nous fait croire que nous sommes en démocratie alors que, dans le meilleur des cas, c’est une moitié de la France qui impose sa volonté à l’autre moitié. La seule conclusion logique est celle évoquée par la philosophe Simone Weill il y a un siècle :
Les partis politiques ne représentent qu’eux-mêmes
En fait, le circuit de l’information est le suivant : 1) l’oligarchie mondialiste définit la politique à suivre ; 2) les media la diffusent auprès du public ; 3) les partis politiques, dans une logique de marketing politique, s’alignent sur ce que pense la population manipulée par les media. Donc ils se positionnent en fonction de la stratégie qui leur semble la bonne par rapport à une politique décidée loin de la France. Rien à voir avec la démocratie.
Il faut donc abolir les partis politiques
Oui, mais par quoi les remplacer ? La doctrine sociale de l’Eglise nous donne la réponse, celle qui était pratiquée du temps des rois : établir un système de représentation conforme aux corps intermédiaires qui structurent la France. Il y a deux réponses à cette question, si l’on respecte le découpage en deux chambres du Parlement : le respect du principe « un homme, une voix » pour l’Assemblée Nationale et le respect du découpage géographique de la France pour le Sénat.
Quatre collèges électoraux
Le découpage en circonscription répond au premier principe, même s’il est parfois violé au nom de sordides calculs électoraux. C’est donc de là qu’il faut partir. Nous avons choisi d’identifier quatre collèges électoraux : celui des salariés, celui des cadres et entrepreneurs, celui des familles et celui des agriculteurs. Tout électeur, en fonction de sa situation sociale, peut voter dans un ou plusieurs collèges.
Ces quatre collèges élisent chacun un délégué, soit 4 personnes par circonscription.  Actuellement, il y a 577 circonscriptions électorales, soit une moyenne de 21 circonscriptions par région administrative (sachant que nous avons identifié 27 régions administratives).  C’est donc un total de 84 délégués par région administrative en moyenne qui se réunissent en Assemblée de région pour élire en leur sein un Conseil régional de 20 membres. Ce dernier élit en son sein 5 députés, soit un total de 135 députés pour l’Assemblée Nationale.
Une Assemblée Nationale composée de 135 députés
En ce qui concerne le Sénat, nous partons de l’idée que les intercommunalités – une invention très politique de Nicolas Sarkozy – doivent être remplacées par les « pays » chers à Pasqua qui en a fait une loi en 1995. De quoi s’agit-il ? Le « pays », qui correspond à environ un quart de département, est homogène du point de vue géographique, social, économique et culturel. Grâce à Pasqua, une carte de la France découpée en pays a été établie.
Nous appelons « Assemblée de pays » la réunion, en assemblée générale, de tous les maires (ou leur représentant) d'un même pays, soit environ 100 personnes. Cette Assemblée de pays élit en son sein un « Comité de pays » de 20 délégués.
Nous appelons « Conseil de métropole » la réunion, en assemblée générale, de tous les maires (ou leur représentant) d'une même métropole, soit environ 20 personnes. Cette Assemblée de métropole élit en son sein un "Conseil de métropole" de 20 conseillers.
La réunion des comités de pays d’un même département en assemblée générale – 80 à 100 personnes – et du conseil de métropole – 20 personnes - permet d’élire en son sein un Conseil départemental de 20 membres. Comme il y a de l’ordre de 400 pays et, à raison d’une métropole par région administrative, si chaque comité de pays et conseil de métropole élit en son sein un sénateur, cela représente un total d’environ 450 sénateurs.
Un sénat composé de 450 sénateurs
Que se passerait-il si une telle réforme des institutions était mise en place ? Il y aurait très probablement une majorité stable qui voterait des lois allant dans le sens du bien commun et non résultant de la stratégie des partis politiques.
Exigeons la suppression des partis politiques !

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POUR UN ROI TRES CHRETIEN

Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
-       un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
-       des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
-        des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :

AVOIR UN ROI TRES CHRETIEN

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