Bienvenue sur notre site légitimiste
LES MANIFESTATIONS SONT-ELLES UTILES ?

Et Olivier Frèrejacques conclut : « Ces trois mobilisations dominicales témoignent, par leur faible affluence, du désintérêt de l’immense majorité des Français pour ces moments militants. Désabusés par des partis tout en verticalité, leur gestion clanique et leur communication intempestive, écœurés par les multiples affaires et la corruption, usés par des échecs comme celui des Gilets Jaunes pour les uns ou celui des retraites pour les autres, de nombreux Français sont désenchantés. Et ils ont de bonnes raisons de l’être ».
Oui, « de nombreux Français sont désenchantés ». Mais faut-il baisser les bras pour autant ? Astucieusement, Olivier Frèrejacques fait la distinction entre des manifestations partisanes d’une part, et des manifestations populaires telles que celle des Gilets jaunes ou celles qui s’opposaient au projet macronien de réforme des retraites.
L’exemple typique d’une mauvaise stratégie, c’est La Manif Pour Tous. Ludovine de La Rochère considère que les manifs, cela sert seulement à faire pression sur les députés. Donc une vision électoraliste qui conduit à changer tout le temps de mot d’ordre, ce qui est complètement démobilisateur. Au lieu de rester sur un seul mot d’ordre – abrogation de la loi Taubira – et se battre jusqu’à ce qu’on l’obtienne.
Quant aux Gilets jaunes, ils avaient 50 revendications et n’arrivaient pas à se mettre d’accord pour en retenir une et mener la bataille sur celle-ci. Concernant la bataille sur les retraites, jamais n’a été présenté par un parti ou un syndicat un projet alternatif. C’est donc l’absence de mot d’ordre qui a prévalu.
Aujourd’hui, si l’on reconnait que la retraite est un des éléments dont ont besoin les familles pour vivre sereinement la dernière partie de leur vie, c’est sur la défense de la famille qu’il faut se battre. Mais les familles ont aussi deux problèmes : l’école qui n’enseigne plus et la sécurité qui menace chacun de nous dès qu’on sort dans la rue.
Ce sont trois problèmes majeurs pour les familles. C’est pourquoi il faut se battre sur le triplet
POUR UN ROI TRES CHRETIEN
Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
- un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
- des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
- des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :
AVOIR UN ROI TRES CHRETIEN
Contact
prtc75@orange.fr
Notre dernier livre

Croissance zéro

Pélerinage à PONTMAIN
Venez prier pour le retour du roi
le 17 de chaque mois
Renseignements :
chouandecoeur@orange.fr
Mob. 06 07 50 26 58